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Le mal des ruines chroniqué dans la presse, en ligne et à la radio…

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« Son nom ne l’indique pas mais Claude ARNAUD est Corse par sa mère, de la lignée des
ZUCCARELLI, fameux hommes politiques bastiais, écrit Jean-Marc Le Scouarnec dans un article intitulé « Claude ARNAUD réveille le volcan corse »  publié par La Dépêche du Midi du 3 février 2021. Dans « Le mal des ruines », l’écrivain revient sur ce lien profond qui l’attache à l’île méditerranéenne et particulièrement au village de Santa-Lucia-di-Mercurio… (Il)  n’en oublie pas pour autant les dérives violentes qu’a connues la Corse : les plasticages, les exécutions, les compromissions mafieuses. Et résume la complexité de la Corse en une phrase : « fouiller le coeur d’une telle île, c’est risquer de réveiller un volcan ». Le sien a les beautés de souvenirs qui continuent de brûler. Pour lire ce papier

« Le dernier roman de Claude ARNAUD, Le Mal des ruines, publié chez Grasset, est une nouvelle quête d’identité, qui nous fait découvrir une Corse « telle qu’on s’en souvient ou qu’on la rêve », écrit Klara BUDA en amorce de son article sur le site ENCRAGE. C’est le pays de l’enfance, c’est le ‘pays’ où il fait toujours beau. La lumière intense, le parfum inimitable du maquis, les montagnes à-pic constituent ensemble un paysage extraordinaire, qui est en quelque sorte le personnage principal du livre. » Pour lire la version intégrale de ce post sur le site de KLARA BUDA

Conseillé par V. Barbe, libraire Au Brouillon de culture (Caen), Le Mal des ruines a été chroniqué par F.-J. Goudeau, de l’I.U.T. de La Roche-sur-Yon. Pour découvrir son article sur le site « Page des Libraires »

« Ce livre, sans être à proprement parler un roman, n’est assurément pas celui d’un observateur, politologue, sociologue ou économiste, qui tenterait d’analyser objectivement ce qu’il a pu vivre, écrit Jacques FUSINA dans le n° 6859 d’« Informateur Corse Nouvelle, Settimanale corsu« . On a lu bien des études informées sur le clan électoral insulaire, ses heurs et ses abus, pour ne pas en saisir l’essence profonde. Mais nous sommes appelés ici à cheminer avec émotion au côté de ce témoin si semblable à beaucoup d’entre nous (…) Et constater combien il est demeuré fidèle malgré tout à son enfance comme l’indique ce passage extrait des dernières pages de l’ouvrage : « L’identité est un feuilleté. Ce que l’on croyait avoir définitivement dépassé resurgit à des tournants décisifs, ce qui semblait nous constituer pour toujours s’efface sans bruit. J’ai adoré la Corse avant de la détester, et l’on a fini par vivre ensemble, pour parodier Valéry. » (… ) : en écho de cette phrase, le lecteur pourra alors reconnaître chez l’auteur le courage d’avoir abordé et traité ces problèmes identitaires avec autant d’émouvante franchise et en définitive d’éternelle beauté. »

*Une des chroniqueuse littéraires de RCFM, Françoise DUCRET, a parlé du Mal des ruines le samedi 6 février 2012, à 11heures le matin, sur FRANCE BLEU CORSE dans l’émission « Des livres et délire » animée par Marie BRONZINI. Pour écouter cette émission (aller jusqu’à la 35° minute 50° s…)

Le Mal des ruines, Vincent Jaury et TRANSFUGE

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Dans le numéro 145 de Transfuge, daté du 2 février 2021, Vincent JAURY écrit au sujet du Mal des ruines: « L’identité est un feuilleté écrit l’auteur. Il a cette très belle phrase qui résume son propos au début du livre : « Une origine est un fantôme
qui s’actualise parfois pour s’imposer comme
une évidence, avant de regagner à pas de loups
son grenier ». Ses origines corses comptent,
mais sont la partie d’un tout, fidèle qu’il est
à Cocteau : « Je ne me réclame que de moi, je
préfère les nuances de l’hybridité assumée ».
La fin du livre est la plus réussie, où il se
penche sur la difficulté à écrire une île : « Une
île ne s’explique pas (…) elle résiste à l’analyse,
tout comme l’éclat aveuglant du soleil sur la
mer. » Et la dernière page, sans trop en dévoiler,
est l’acmé du récit, lumineuse mise au tombeau. » Pour lire cet article in extenso…

« En Attendant Nadeau » salue la sortie du Mal des ruines…

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En attendant Nadeau

Roger-Yves ROCHE, dans l’édition électronique d’En attendant Nadeau du 27 janvier 2021, salue en ces termes Le Mal des ruines :  » La lumière, c’est le premier mot de Claude ARNAUD pour définir la Corse, cette île  qui a façonné, sinon fasciné, son enfance, «parenthèse extravagante » déjà évoquée dans le très beau Qu’as-tu fait de tes frères ? (2010), source de souvenirs inépuisables, miroir dans lequel il se reconnaît encore aujourd’hui, presque malgré lui (…) Une Corse originaire, donc, teintée d’une couleur maternelle, qui est autant une histoire qu’une géographie. L’histoire : celle d’une famille haut perchée, les ZUCCARELLI, qui a donné naissance à une lignée de maires et d’hommes politiques comme on n’en fait plus, « acteurs-nés » surjouant leur rôle, qui contraste avec « l’existence minuscule » du petit « Parisien approximatif ». La géographie : celle d’un paese « dont les montagnes bornent les regards et pénètrent en profondeur l’esprit », la terre aussi vivante que vivifiante, magnifiée, sublimée par la langue de l’écrivain ». Pour lire cet article in extenso

(Photo: Les ruines du Zuccarello)

La presse et « Le Mal des ruines »

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«  En un peu plus de cent pages, tout est dit de l’implacable beauté de l’ile, de sa «perfection élémentaire», des mythes et des folles passions
qu’elle suscite, détestation comprise », écrit Marie-Françoise LECLERE  dans LE POINT n° 2528 en date du 28 janvier 2021. Pour lire son article in extenso…

« On marche au bras d’un nouveau Virgile, écrit Gérard LEFORT dans les INROCKS du 27 janvier 2021, quand ARNAUD décrit sur cette île qui a “le profil en crête d’un iguane vert”, le goût des torrents et du
maquis, ou, franchement souriant, les vaches errantes, “plus proches du carnivore que du mangeur d’herbe”. Le Mal des ruines, “leur odeur de renfermé”, est le récit d’une renaissance, comme au lendemain d’un incendie de forêt : “Tout serait vert à nouveau, et d’une fraîcheur bouleversante.” Le mal des ruines fait du bien ». Pour lire cet article in extenso…

Sur les Trois Anneaux de Daniel MENDELSOHN

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Dans son numéro 2507, daté du 10 septembre 2020, LE POINT publie un article de Claude ARNAUD au sujet de Les trois anneaux, le dernier récit de Daniel MENDELSOHN, consacré à divers érudits qui contribuèrent à faire de L’ILLIADE et de l’ODYSSEE les piliers de la culture occidentale.

Pour lire cet article

« Les trois anneaux » ont reçus LE PRIX DU MEILLEUR LIVRE ETRANGER – Catégorie Essai – le 25 novembre 2020 à Paris.

Sur Les Années folles…

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Le Nouveau Magazine Littéraire, dans son numéro 28 sorti le 22 avril 20020 consacré aux « ANNEES FOLLES » a publié un article de CLAUDE ARNAUD consacré à la littérature des Années 20 qui, de JOYCE à DOS PASSOS et de JULES ROMAINS à ANDRE BIELY, sut entrer dans l’ère des foules et faire exploser les limites du Moi. Pour lire la première page de cet article… Et la seconde

Kaouther ADIMI et les généraux d’Algérie

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Le 16 septembre 2019, LE POINT a publié un article de Claude ARNAUD consacré au roman de Kaouther ADIMI publié aux éditions du Seuil, Les petits de décembre. Le livre évoque avec beaucoup finesse et de tact le fonctionnement  paternaliste et mafieux de la haute hiérarchie militaire algérienne, qui monopolise l’essentiel des rouages de la vie politique et économique du pays depuis l’Indépendance. Pour découvrir cet article in-extenso

Sur la rentrée littéraire 2019…

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Le jeudi 22 aout 2019, LE POINT a publié, dans son numéro 2451, le premier article de CLAUDE ARNAUD consacré aux livres de la rentrée littéraire 2019. Intitulé « Deux ans au claque », il traite du troisième roman de Emma BECKER, « La maison », publié par les éditions Flammarion. Emma BECKER s’est enrôlée dans une maison close de Berlin, délibérément,  s’est glissée dans le lit humide des Mädchen, et fait avec une lucidité féroce le bilan de cette expérience, une sorte de service militaire au féminin.

Pour lire l’amorce de cet article… Pour découvrir sa version papier

Dans le Hors-Série du Point consacrée à PROUST

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Dans son numéro Hors-Série daté juillet-août 2019 intitulé « Le Grand Monde de PROUST », LE POINT publie quatre textes de Claude ARNAUD, l’un dédié à celui qu’il a baptisé « NARRAPROUST », le vrai-faux auteur de La RECHERCHE, cet hybride du « Petit Marcel » et du grand Narrateur, dans son Proust contre Cocteau (Grasset, 2013, Arléa-poche 2019),  l’autre au baron de CHARLUS, personnage-clef de ce grand livre, le troisième à JUPIEN, le tenancier du bordel où le Narrateur fait de stupéfiantes découvertes sur la vie érotique du précédent, le dernier à MOREL, le violoniste-gigolo qui enflamme le coeur de jeune fille de CHARLUS, sans compter un article dédié à BERGOTTE, le « grand » écrivain que le Narrateur admire tant, et qui mourra devant le petit pan de mur jaune de Vermeer…

Pour découvrir l’introduction et le sommaire de ce HORS-SERIE

Pour commander en ligne ce HORS-SERIE...(Claude Arnaud par Laura Stevens)

« Proust contre Cocteau » vu par Erwan DESPLANQUES dans SUD-OUEST

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Dans la rubrique « C’est en poche » publié dans le SUD-OUEST du 3 mars 2019, dans un article intitulé « Les amitiés maléfiques », Erwan DESPLANQUES écrit: « À vingt ans d’intervalle, PROUST et COCTEAU ont étudié au lycée Condorcet, ont couru les bals puis les honneurs ; ce sont deux mondains – l’un triste, l’autre joyeux-deux « miroirs jumeaux » (dixit PROUST) dont les reflets vont se distordre au fur et à mesure de leur ascension dans le monde des lettres. « Peu d’écrivains se sont autant aimés, enviés, jalousés », écrit Claude ARNAUD dans ce livre magnifique qui, au-delà du portrait croisé, sonde l’énigme du geste créateur. »

Pour lire cet article in extenso

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