Le Caméléon : en France

*DANS LA PRESSE

« On devine que Claude ARNAUD a dû autrefois roder lui-même dans ce pays des inventeurs de la Solitude volontaire, comme les juifs l’ont été du Dieu unique ou les tziganes de l’exil perpétuel, tant la description en est aigue, décapée, sapide (…) Le roman culmine avec un morceau de bravoure (…), un dialogue où s’affrontent le gastroentérologue genevois et son illustre patient – Enver Hodja lui-même ; ce sont des chênes qu’on abat, mais avec une faucille (…) Cette fable sur une nation-microcosme nous rappelle que l’Est, plus qu’une contrée, est une couleur de l’âme ». Marc Lambron, Le Point, 17.07.1994.
« C’est remarquablement maîtrisé ». Patrice Delbourg, L’Évènement du Jeudi, 22.07.1994
« «Loin de la nostalgie, c’est par la dérision, à la façon de Julian Barnes dans «Le Porc-épic», que Claude Arnaud traite du problème de la dictature. «Le Caméléon» (Grasset) décrit la mue d’un jeune Suisse «en cure» dans une ferme d’Etat. Plus que par la psychologie des personnages le livre intéresse par l’observation de la vie quotidienne dans l’Albanie d’Enver Hojda. Défiance du tyran envers ses médecins, ordres et disgrâces, cynisme et mégalomanie, l’auteur d’une excellente biographie de Chamfort rejoint l’universel». ANNE PONS, L’EXPRESS, 01/09/1994. Pour lire cet article in-extenso
« Une comédie où l’on ne sait ce qui grince le plus, l’horreur des situations ou l’humour avec lequel (Claude Arnaud ) les traite ». Françoise Giroud, Le Journal du Dimanche, 2.10.1994.
« Le livre est excellent quand il tourne franchement à la parodie et à la comédie. Le récit de voyage – où j’ai retrouvé beaucoup de mes étonnements – est très amusant et instructif (…) Le choix de personnages suisses avec le constant contrepoint Tirana-Genève qui s’établit dans leur tête, les monologues du dictateur le plus mystérieux du siècle, tout cela est d’une invention délectable. Il paraît que l’auteur avait imaginé sa « fable » – et qu’il en avait écrit une première version – sans être allé encore en Albanie ». François Nourissier, Le Figaro, 18.11.1994

*DANS LES BLOGS

« L’atmosphère à la fois surréaliste et terre à terre est assez inattendue. Le héros, Paul, fait sa cure de réalité en Albanie, le décalage dans le quotidien entre sa vie bien protégée en Suisse et le monde ouvrier qu’il découvre est très fort. Mais l’ambiance est quasi onirique, et le personnage explore le réel de façon très personnelle (…) Bref, ce livre ne m’a pas laissée indifférente, et m’a même presque fascinée », écrit Automnale sur le site L’agora des livres. Pour lire son post in extenso…

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