Articles
Le Mal des ruines dans Commentaire
0Crée en 1978 par Raymond ARON et dirigée par Jean-Claude CASANOVA, la revue Commentaire a publié dans son numéro 174 daté de l’été 2021 un extrait du Mal des Ruines consacré au « moment » que vit la Corse, depuis le déclin des clans traditionnels. Cet extrait est précédé d’une présentation par Jean Claude CASANOVA. Pour découvrir cette présentation…
Sur Maylis de Kerangal
0Dans son numero n°2548 daté du 10 juin 2021 Le Point a publié un article de Claude ARNAUD sur Canoës, le dernier opus de Maylis de KERANGAL publié aux éditions Verticales. Pour lire l’amorce de cet article… Pour découvrir cet article in extenso…
Sur la Covid, dans la NRF
0Dans son numéro 648 du mois de mai 2021, la Nouvelle Revue Française publie un dossier sur la pandémie qui
nous musèle depuis quinze mois et continue de se propager, jusqu’aux sommets de l’Himalaya. Claude ARNAUD a contribué à ces « Dernières nouvelles de la condition humaine » avec un texte intitulé VIRAL revenant sur l’action de ce corpuscule qui nous condamne, pour le seul « plaisir » d’être, à une immobilité déprimante et à une humilité inattendue.
Pour lire la première page de ce texte… Et la seconde…
Pour lire le sommaire et découvrir l’éditorial de Michel CREPU…
Le Mal des ruines dans ARTPRESS
0Dans son numéro 486-487, daté mars-avril 2021, ARTPRESS a publié un article de Jacques HENRIC sur Le Mal des ruines, intitulé « Un se divise en deux », un des plus aigus que la presse ait consacrée à ce livre. Pour lire in extenso cet article…
(J. Henric par Hermance Triay)
Ce samedi 27 février, dans le quotidien belge L’Echo
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Ce samedi 27 février 2021, dans le quotidien belge L’Echo, Johan-Frédérik HEL-GUEDJ écrit au sujet du « Mal des ruines », paru chez Grasset: Claude ARNAUD s’attache à l’exercice quasi-monacal d’écrire «avec son propre sang», selon la formule nietzschéenne en exergue de son nouvel opus. Il appelait le bureau où il s’enfermait pour écrire, de plain-pied sur la rue parisienne, sa «grotte». D’emblée, avoue-t-il, «il m’arrive encore de me demander qui je suis», mais croit savoir d’où il vient. Cet ailleurs, la Corse de sa mère, Marie-Paule Benedetta, c’est le «fantôme» de son origine… Pour lire la suite de cet article…
« Brillant biographe de Cocteau, Claude ARNAUD est aussi l’auteur d’une oeuvre
autobiographique… (Je ne voulais pas être moi, Grasset, 2016), écrivait Jacques FRANK dans Arts Libres, le supplément culturel hebdomadaire de La Libre Belgique du 27 janvier. Ses parents, la mort tragique de ses deux frères aînés, son passage de l’amour des hommes à celui d’une “femme solaire”, ont fait l’objet de récits circonstanciés. Cette fois, il revient sur ses vacances d’enfant chez ses grands-parents en Corse, où sa famille maternelle, les ZUCCARELLI, a tenu longtemps la mairie de Bastia. Il s’interroge ensuite sur les transformations de l’ile, sur les menées indépendantistes des uns, mafieuses des autres. Pour les fidèles de l’auteur et les amoureux de l’île de Beauté…«
Le Mal des ruines dans la presse et les blogs
0« Enquête sur soi, récit d’un amour exigeant pour une terre et une histoire qui le constituent et le désespèrent, telle est la substance du petit livre charmant et tendu, souvent au bord des larmes, que vient d’écrire Claude ARNAUD« , analyse Etienne de MONTETY dans LE FIGARO en date du jeudi 18 février 2021. Pour lire cet article in extenso…
« Loin des clichés touristiques et de l’industrialisation, la Corse que Claude ARNAUD retrouve est celle du «mal des ruines», cette propension à tout conserver, même les objets hors d’usage, les maisons s’écroulant en raison de l’indivis, quand le continent adopte les objets jetables et un consumérisme frénétique, écrit Francine de MARTINOIR dans LA CROIX, en date du 18 février. L’âpre beauté des paysages montagneux et des pierres que rien ne peut changer le ramène à la mort de ses frères, PHILIPPE, par noyade, et PIERRE, atteint de maladie mentale qui se jeta dans le vide, ainsi qu’à celle, prématurée, de ses parents. La tragédie corse lui semble alors une fatalité analogue à celle du théâtre grec, le vouant, lui et les siens, à la brutalité du destin et à la mélancolie insulaire. Pour lire cet article in extenso…
*Un récit « qui s’apparente à la fois à un album de photos que l’on feuillette, à un livre d’histoire que l’on bouquine, un journal que l’on compulse, un journal intime que l’on déchiffre, à un guide du routard chevronné dont on s’est équipé pour découvrir le pays corse, écrit la « lectrice obstinée » qui tient le blog « Tempsdelecture ». L’auteur donne les clefs à ceux, beaucoup d’entre nous j’imagine, qui ne les ont pas forcément pour comprendre cette ile dotée d’un fort esprit traditionaliste, qui ne s’ouvre pas forcément facilement aux continentaux. En tout cas, cela m’a permis de comprendre un peu mieux les traits de cette île au caractère indomptable et de ses habitants. Pour lire son post in-extenso, en date du 5 février 2021…
*« Bon nombre d’auteurs s’évertuent pourtant à parler la langue de leur terre ; comme l’écrit si joliment Jacques FUSINA, et surtout ceux qui cherchent à s’en détacher. En Corse, nous ne pouvons que penser à Marie SUSINI, Angelo RINALDI et Claude ARNAUD, écrit Kevin PETRONI sur le site Musanostra, le 16 février. Tous trois liés à une île qui les renferme et les pétrifie. Marie SUSINI décrit la Corse comme le lieu « des premiers matins du monde », « le dernier reste de l’immense chaos qui déchira la nuit »… La Corse est une « renfermée », titre de l’ouvrage de SUSINI, qu’il faut fuir ; “fuir sur le champ”, de peur de finir en pierre.
Angelo RINALDI avait, lui aussi, perçu ce mal du pays natal, qui cherche désespérément à vous emprisonner. Dans Les jardins du Consulat, il évoque cette phrase d’Ernest JÜNGER, « La mort est notre premier souvenir » avant de rendre hommage « à ce pays d’où vient [le héros du roman] et où les plus belles maisons sont des tombeaux »… Le mal des ruines, dont parle Claude ARNAUD dans son texte, définit assez bien le mal de l’île. Il s’agit de cette tension entre la permanence du lieu et le devenir des hommes. Nous avons beau revenir sur nos pas, compter les années qui passent sur le sable fin, elles ne semblent pas avoir de prise sur lui. Ce n’est pas ce qui change qui nous gêne, c’est ce qui reste le même. » Pour lire ce post in-extenso…
Sur Fréquence Protestante, ce samedi à 20h…
0Le Samedi 20 février 2021, Claude ARNAUD a été l’invité de Frédérick CASADESUS dans son émission « Une heure avec« … sur la radio Fréquence
Protestante. Il a parlé du Mal des ruines, récit qu’il vient de publier aux éditions Grasset. Pour réécouter cette émission…
« Qu’est-ce qu’un écrivain ?, demande Frédérick CASADESUS en préambule à cet entretien. Pas seulement quelqu’un qui écrit. C’est un explorateur, un voyageur, un être qui parcourt les paysages intérieurs de son imaginaire ou les territoires qui, sur notre bonne vieille planète, inspirent ses divagations de phrases et de mots. Claude ARNAUD publie Le mal des ruines ( Grasset, 125 p. 15 €), récit qui décrit le lien très fort qui l’attache à la Corse, la terre d’une partie de ses ancêtres. Mais plus qu’un livre classique de remémoration, Claude ARNAUD construit de page en page une réflexion sur la mort et la vie. Libre et courageux, dégageant les lignes de forces de son propre destin, l’écrivain révèle beaucoup de lui-même au cours de cet entretien. »
Claude ARNAUD sur France-Culture
0Le Jeudi 18 février, de 15 à 16 heures, Claude ARNAUD
a été l’invité en direct de Matthieu GARRIGOU-LAGRANGE, sur France-Culture, dans la 4° et dernière émission de la Compagnie des Oeuvres dédiée à COCTEAU. Pour réécouter cette émission, dans son intégralité…
Annick Geille salue Le mal des ruines
0Annick GEILLE salue le 14 février Le mal des ruines sur le site ATLANTICO : « De nombreux « écrivants » publient, mais il est peu d’écrivains. Claude Arnaud appartient à la seconde catégorie. La question de son nouveau livre, Le mal des ruines (Grasset), s’articule autour des difficultés de la quête de soi. Ce récit d’un voyage en Corse, loin d’être anecdotique, est emprunt d’une mythologie donnant au texte sa profondeur de champ. L’ interrogation existentielle de l’auteur-narrateur (cf. l’identité, le mystère des origines), est celle d’un homme ressentant la culpabilité d’une vie « usurpée », volée en somme. Le narrateur revient au « pays de son enfance », se reprochant de vivre, quand ceux qu’il aimait n’ont pas eu cette chance (…) Consolant et fort, sans afféteries. » Pour lire cet article in ex-extenso…
Pour lire quelques articles non-publiés…
0La place que la presse papier consacre aux livres n’augmente pas, et les titres couverts ne relèvent plus toujours de la littérature. Pour lire quelques-uns des articles que Claude ARNAUD a consacré à des livres publiés depuis la rentrée de septembre 2020, et qui n’ont pas été publiés, il vous suffit de cliquer sur le nom de l’auteur chroniqué puis de cliquer deux fois sur l’article, s’il n’apparaît pas au complet…
Julian BARNES, pour l’Homme en rouge ( Mercure de France)
Maël RENOUARD, pour l’Historiographe du Royaume (Grasset)
Jean-Philippe TOUSSAINT, pour Les Emotions (Minuit)
Pascal QUIGNARD, pour L’Homme aux trois lettres (Grasset)
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