Articles
La ressortie de « Proust contre Cocteau » salué par Jacques FRANK dans La Libre Belgique
0Le 27 février 2019, dans son tout nouveau supplément culturel intitulé « Arts Libre », La Libre Belgique a publié un article de Jacques FRANK saluant la ressortie, en collection Arléa Poche, du Proust contre Cocteau en ces termes:
« Les éditions Arléa republient le brillant essai de Claude Arnaud sur l’étrange relation qui unit un temps Marcel PROUST, né en 1871, et Jean COCTEAU, né en 1889. Ils se rencontrèrent autour de 1910, le premier n’ayant encore rien publié de significatif, le second, poète brillant et drôle, virevoltant du salon de la comtesse de Noailles aux coulisses des Ballets russes. PROUST, fasciné, éprouva pour lui un “amour impossible”, asphyxiant, jusqu’au moment où Gide et la NRF le consacrèrent grand écrivain. Il laissa alors tomber COCTEAU, justifiant ce que Lucien DAUDET lui avait dit un jour : “Marcel est génial, mais c’est un insecte atroce”. Le romancier des Enfants terribles fut un des rares écrivains à multiplier les réserves sur La Recherche, comme s’il ne connaissait que trop bien… l’envers du décor. » J.F.
(en vitrine de la lib Delamain, au Palais-Royal; ph: Anne Bourguignon)
Sur le dernier livre d’Elisabeth FILHOL…
0Le Point, dans son N° 2420 – daté du 17 Janvier 2019 – a publié un article de
Claude ARNAUD au sujet du dernier livre d’Elisabeth FILHOL, Doggerland, tout juste paru chez POL…
Pour découvrir l’amorce de cet article, paru sous le titre « Biologie d’un amour »…
Pour le lire in extenso, version papier…
Sur le dernier roman de Gilles MARTIN-CHAUFFIER
0Le 1§ décembre 2019, LE POINT a publié un article de CLAUDE ARNAUD sur L’ère des suspects (éd. Grasset) le dernier roman de Gilles MARTIN-CHAUFFIER,
sous le titre « Condé ou caillera? » Pour lire cet article… (ph:Hélène Pembrun)
Pour le lire in extenso, version papier…
« Portraits Crachés » vu par le Canard Enchaîné
0Frédéric PAGES, dans sa rubrique hebdomadaire « Lettres ou pas Lettres », publie un
compte-rendu des PORTRAITS CRACHES de Claude ARNAUD (Bouquins) – « monument de 500 portraits tirés de Mémoires, de lettres, de romans, superbe pièce montée à picorer dans le désordre et sans retenue« . Pour lire in-extenso cet article, publié dans le Canard Enchaîné du 11 juillet 2018…
ARTPRESS salue « PORTRAITS CRACHES »
0Dans le numéro 453 d’ARTPRESS, daté mars 2018, Alix AGRET écrit : « Claude ARNAUD pourrait faire sien le constat d’un des plus grands
portraitistes (sinon le plus grand ?) de l’histoire de la littérature française. SAINT-SIMON l’avoue : « les singularités curieuses ont fait couler ma plume ». Elles ont aussi aiguillonné le désir de Claude ARNAUD qui s’est fait un devoir de les traquer, non plus seulement chez les courtisans dont le mémorialiste dépeçait les tares et petitesses de sa plume assassine mais également dans tout ce que l’introspection et la dissection d’autrui ont produit d’humanité singulière en littérature. Déjà il s’était fait le biographe de CHAMFORT puis de Jean COCTEAU. Il n’a cessé de ferrailler avec les contours fluctuants de l’être, ses énigmes, ses impostures et ses contradictions, chez les siens (Qu’as tu fait de tes frères ?) ou chez les autres (Le caméléon roman) – limpide est à cet égard le titre de son essai Qui dit je en nous ? : une histoire subjective de l’identité (…)
COCTEAU affirmait que le poète est exact. Et il y a de l’exactitude dans cet ouvrage ciselé où Claude ARNAUD recueille, infatigable, et avec force détails, les variations d’un genre protéiforme tout en assumant la subjectivité de sa sélection ». Pour découvrir le sommaire de ce numéro d’ARTPRESS…
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Cet art si français du portrait…
0« L’inélégance du titre se fait vite oublier, écrit dans le SUD-OUEST Dimanche du 6 décembre 2017 Isabelle BUNISSET, en évoquant la parution de PORTRAITS CRACHES, un trésor littéraire, de Montaigne à Houellebecq (BOUQUINS Robert Laffont). Dès la préface,
admirablement écrite, retraçant la longue histoire d’un genre littéraire, tour à tour réprouvé et prisé. Dans cette anthologie à la subjectivité parfaitement assumée, Claude ARNAUD – essayiste, biographe, critique littéraire – révèle le rôle déterminant du portrait et de l’autoportrait dans le tropisme individualiste et l’évolution de la société. S’en tenant presque exclusivement à des textes écrits en langue française, il en a collecté près de cinq cent, issus de mémoires, romans, poésies, fables, maximes (…) Il faut saluer l’entreprise ardue, l’immense labeur que représente cette somme. Tout comme la finesse des analyses magnifiées par l’élégance de l’écriture. Aucun esprit de célébration compassée. En surface, tous ces textes sont dissemblables, en profondeur ils communiquent par cette volonté de s’approcher de l’énigme. La chose se retire à mesure qu’on l’approche. Inlassable quête que Claude ARNAUD nous donne à entendre dans sa belle mélopée. Chapeau bas. »
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(ph. Hannah Assouline)
« PORTAITS CRACHES » dans LE MAGAZINE LITTERAIRE
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« En 2006, écrit Camille Thomine, Claude ARNAUD se demandait Qui dit je en nous ? dans un essai sur la fabrique de l’identité où défilaient cas d’impostures et personnalités flottantes. Quelques années plus tard, dans Qu’as-tu fait de tes frères et Je ne voulais pas être moi, il dévoilait sa propre multiplicité : l’enfance à l’ombre d’aînés intransigeants et bien trempés et le désir d’endosser à rebours plusieurs existences. Repousser les limites du moi et s’autoriser, à chaque impasse existentielle, un pas de côté salvateur. Rien d’étonnant, donc, à le voir signer en cette rentrée une dense anthologie du portrait, genre par excellence de la construction de soi (…) « Caméléon » de nature, Claude ARNAUD glisse avec délice du réel à la fiction, de la pommade au pugilat et du grand auteur au confidentiel… si bien qu’on peut tout autant piocher au hasard du volume que se laisser porter par l’enchaînement souple et quasi narratif des effigies (…)
La réussite de cette anthologie, placée sous le signe de l’ouverture, de la curiosité et de la joie, conclue Camille THOMINE, tient à ces jeux picassiens de miroirs et de collages qui témoignent de la vitalité de la littérature… mais aussi au plaisir contagieux de Claude ARNAUD, dont les qualités de lecteur se doublent d’un don certain pour le croquis. A chaque page on est frappé par la finesse de l’analyse, l’à-propos des citations et la saveur de métaphores… »
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« PORTRAITS CRACHES » dans LES INROCKS
0Dans son numéro daté du 14 octobre 2017, LES INROCKS publient un article de Gérard LEFORT, intitulé « Miroirs en regard », sur
PORTRAITS CRACHES, l’essai que CLAUDE ARNAUD vient de publier dans la collection BOUQUINS – « une anthologie légère et instruite qui caracole de MONTAIGNE à HOUELLEBECQ ». Pour lire cet article…
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« PORTRAITS CRACHES » dans LE POINT
0Dans son numéro du 12 octobre 2017, LE POINT a publié un article enthousiaste,
intitulé « Dans la galerie des glaces de la littérature », de Marie-Françoise LECLERE au sujet de PORTRAITS CRACHES. « De Montaigne à Houellebecq, Claude ARNAUD publie une superbe anthologie de portraits, des modèles du genre », dit-elle en préambule. Pour lire l’amorce de son article... Pour en découvrir la suite…
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« PORTRAITS CRACHES » dans En attendant Nadeau
0Quoi de commun entre Michel de Montaigne et Michel Houellebecq ?, écrit Jean
LACOSTE dans En Attendant Nadeau, la revue en-ligne, en date du 10 octobre 2017… Entre Céline et de Gaulle ? Entre Aragon et Drieu La Rochelle ? Rien, sinon qu’ils ont écrit des portraits de grand style que Claude Arnaud se fait un plaisir de citer et nous de relire. S’il est difficile de rendre compte d’un tel ouvrage (900 pages d’anthologie surabondante, assortie de commentaires souvent judicieux), il n’est pas aisé non plus de le lire. On est pris de vertige, comme si la totalité de la littérature française classique se trouvait rassemblée dans cette galerie de portraits, offerte à nos sélections arbitraires, pour ainsi dire sous une forme portable, comme un compagnon. Des portraits pour certains bien connus, d’autres à découvrir, au hasard d’une plaisante lecture buissonnière, d’autant plus justifiée que l’ouvrage repose sur un principe somme toute discutable selon lequel à peu près tout devient ou peut devenir portrait. Mais le lecteur, qui se plonge dans ces petites merveilles de méchanceté et de finesse psychologique, n’en a cure. Pour lire cet article in-extenso…
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