« JE NE VOULAIS PAS ETRE MOI » dans ARTPRESS du mois de juin 2016
0La revue ARTPRESS, dans son édition datée juin 2016, publie un article de Jean-Jacques MANZANERA
sur « Je ne voulais pas être moi », le dernier volume de la trilogie autobiographique de CLAUDE ARNAUD:
« Le dernier « roman » de Claude ARNAUD se pose comme une œuvre a la fois pleinement ancrée dans les grandes lignes de la mouvance auto-fictionnelle et assez singulière pour mériter que le lecteur le plus exigeant s’y arrête Construit comme une réponse apparemment indirecte a Qu’as-tu fait de tes freres ? (2010) Je ne voulais pas être moi indique des le titre que le rassemblement identitaire de ses strates de vie constituera l’objectif principal de I’auteur et de son écriture rétrospective du TU au MOI en passant par let(s) JE. Se penser comme « locataire de son être » avant d’en devenir le « propriétaire », sinon serein au moins reconcilié, tel pourrait être I arc de la trajectoire que le lecteur accomplit avec Claude Arnaud
Pas d’exhibitionnisme mais un étonnement dénué de calculs et empreint de douleur au fil de moments dont le cœur demeure, plus encore que les rencontres amoureuses la perte de ses deux frères aînés I’un via un suicide avéré, I’autre de manière plus étrange – presque antonionienne – en mer. « Deux cadavres cohabitent en moi. L’un a le visage rongé par le sel, l’autre les traits soufflés par sa chute libre. Je suis leur vivant tombeau » Claude Arnaud se montre élégant, en quête de l’expression juste qui scande un déroulé ou il ne nous, ni ne s’octroie la moindre concession face à ces temps de l’existence ou s’affirment les vanités de l’amour, des mondanités littéraires ou de I expérience haïtienne durant laquelle s’accentue la nécessite vitale d’un changement de peau Le lointain intérieur est comme exploré jusqu’à I’os d’une possible dissolution avant un possible retour au flux de I’existence. « L’homme arrive novice a chaque âge de sa vie », avait déclare Chamfort qu’Arnaud a commente dans un bel essai ».
Sure Kenneth ANGER, dans LE POINT du jeudi 26 mai 2016
0LE POINT du jeudi 26 mai 2016 publie un article de Claude ARNAUD intitulé « L’Antéchrist de Hollywwod est de retour » consacré à la sortie, aux éditions Tristram, du second tome des révélations de Kenneth ANGER sur l’envers du décor hollywoodien. Voici l’entame de cet article…
« Portées par le succès d’Hollywood Babylone, bible noire racontant le premier Hollywood, les éditions Tristram publient Retour à Babylone, la suite que lui donna en 1986 Kenneth Anger son auteur. Inédit en français, ce brûlot fait revivre l’âge d’or d’une industrie où triomphent le parlant, la couleur et le sexe, mais aussi la drogue et le crime. Avant tout connu comme cinéaste underground (son Fireworks et son Scorpio rising marquèrent Scorsese et David Lynch), Anger avait rédigé le premier tome alors qu’il s’était exilé en France, après avoir reçu une lettre admirative de Cocteau, et qu’il travaillait pour Langlois à la Cinémathèque : seul Pauvert avait osé l’éditer, en 1959, l’Amérique attendit 16 ans… »
Pour lire la suite de cet article…
En septembre 2016, TRISTRAM publie l’édition définitive – et collector! – de HOLLYWOOD BABYLONE en un seul volume relié, et très abondamment illustrée de photos sorties de la collection personnelle de KENNETH ANGER…
« JE NE VOULAIS PAS ÊTRE MOI » dans L’OBS, parmi « 10 bons livres à lire pour le printemps »…
0Dans L’OBS daté du 14 mai 2016, Grégoire LEMENAGER a choisi JE NE VOULAIS PAS ÊTRE MOI parmi les 10 bons livres à lire pour le printemps. Sous le titre « Métamorphoses » il écrit:
« En exergue, Cioran : «Les sources d’un écrivain, ce sont ses hontes.» A l’intérieur, une prose qui coule de source, précisément. C’est celle d’un homme qui, voyant la soixantaine approcher, contemple ses métamorphoses et les tragédies qui l’ont ravagé. Prolongeant le déchirant «Qu’as-tu fait de tes frères ?», Claude ARNAUD revient ici sur les tragiques disparitions de ses brillants aînés, sur une jeunesse erratique faite de coucheries en tous genres, sur des engagements révolutionnaires passés de mode, et sur l’individu qu’il est devenu, le jour où il a compris que, «patriarche improbable» de sa famille à 43 ans, il était désormais «l’unique responsable de son sort».
Ce « survivant d’une histoire triste» touchait alors le fond du trou. Il lui restait à découvrir Haïti, «pays sans chapeau» où l’on sait le goût de la vie et des mangues, mais aussi l’être solaire qui allait devenir sa femme, lui qui avait tant aimé les hommes. «Il est possible d’assumer plus d’une identité dans une vie», note ce biographe de COCTEAU. Sa confession est celle d’un enfant du siècle dernier, effaré par ce que sa génération en a fait. Il ne se reconnaît plus, mais s’est trouvé.
« QUI EST CLAUDE ARNAUD? » dans Le Monde des Livres
0Jean-Louis JEANNELLE, dans un article intitulé « Qui est Claude Arnaud? » publié par Le Monde des livres en date du 27 avril 2016, rend ainsi compte de » Je ne vouais pas être moi », dernier volume de la trilogie autobiographique inauguré avec « Qu’as-tu fait de tes frères? »:
« La fascinante décomposition de sa famille, la relation passionnelle le liant à ses deux frères, sa découverte des révolutions nées des années 1970, son amour des hommes dont les voies inattendues le conduisent aussi à celui des femmes… : Claude ARNAUD avait déjà brassé l’étonnante matière de son existence dans le merveilleux Qu’as-tu fait de tes frères ? ou dans Brèves saisons au paradis (Grasset, 2010 et 2012). Je ne voulais pas être moi ne donne pourtant jamais une impression de redite, tant son auteur met d’honnêteté et d’élégance à s’adresser à lui-même la question qu’il posait en 2006 à une longue tradition d’« auto-inventeurs » : Qui dit « je » en nous ? Une exigence l’anime : « Garder le désir de changer ». A l’issue de ce parcours désordonné, fait de vivants portraits, de destins gâchés, d’incertitudes douloureuses mais fécondes, ou encore d’un cancer surmonté, Claude ARNAUD peut enfin se dire l’« auteur de [sa] vie ».
« JE NE VOULAIS PAS ÊTRE MOI »
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LE 13 JANVIER 2016, LES EDITIONS GRASSET Ont PUBLIE JE NE VOULAIS PAS ÊTRE MOI, LE NOUVEAU ROMAN DE CLAUDE ARNAUD. TROISIEME ET DERNIER TOME DU CYCLE AUTOBIOGRAPHIQUE INAUGURE AVEC QU’AS-TU FAIT DE TES FRERES, ET CONTINUE AVEC BREVES SAISONS AU PARADIS, JE NE VOULAIS PAS ÊTRE MOI EST LE LIVRE DE LA RESSAISIE DE SOI, AU TERME DES MILLE EPREUVES QUE LA VIE NOUS INFLIGE, ET QU’ON SUSCITE PARFOIS, par haine de la routine et l’ennui…
EN 4° DE COUVERTURE: « Il avait passé sa vie à vouloir être d’autres, à emprunter l’identité de ses frères puis de ceux qu’il aimait. Ayant surmonté la mort de sa mère et le suicide de son aîné, vécu avec un homme puis un autre, il pensait s’être trouvé. Mais son monde vole en éclats lorsqu’un deuxième frère disparaît en mer et que son père meurt. À tout juste quarante ans, Claude ARNAUD devient le patriarche d’une famille de fantômes.
La découverte d’Haïti et l’amour retrouvé, auprès d’une femme, lui permettront de reprendre goût à la vie et d’ordonner enfin, par l’écriture, les morceaux de son existence.
L’histoire de cette renaissance est universelle : elle interroge ce qui, en chacun de nous, subsiste quand tout s’effondre.
« Claude ARNAUD, a qui l’on doit le génial Proust contre Cocteau, mène en parallèle une oeuvre autobiographique. Son nouveau volume Je ne voulais pas être moi, interroge l’identité. En librairie le 13 janvier. » Les Inrockuptibles, 25 novembre 2015
« Entre le 30 décembre et la fin février, 476 nouveaux roman arriveront en librairie, annonce Nathalie CROM dans le TELERAMA du 8/12/2015. Une « petite rentrée littéraire », écrit, non sans ironie, le magazine professionnel Livres Hebdo (n°1065) à qui l’on doit la précieuse recension de ces romans hivernaux (…) Quelques auteurs sont particulièrement attendus : Olivier Rolin (Veracruz, chez Verdier), Patrick Lapeyre (La Splendeur dans l’herbe, P.O.L.), Camille Laurens (Celle que vous croyez, Gallimard), Edouard Louis (Histoire de la violence, Seuil), Philippe Claudel (L’Arbre du pays Toraja, Stock), Jean Echenoz (Envoyée spéciale, Minuit), Linda Lê (Roman, Bourgois), Michka Assayas (Un autre monde, Rivages), Claude Arnaud (Je ne voulais pas être moi, Grasset), Olivia Rosenthal (Toutes les femmes sont des aliens, Verticales), Marie Redonnet (La Femme au colt 45, Le Tripode), Nelly Kaprièlian (Veronica, Grasset) ou encore Kéthévane Davrichewy (L’Autre Joseph, Sabine Wespieser).
*POUR DECOUVRIR LES REACTIONS, LES ARTICLES ET LES EMISSIONS QUE « JE NE VOULAIS PAS ÊTRE MOI » A DEJA SUSCITE EN FRANCE…
ET A L’ETRANGER…
COCTEAU DANS LES CAHIERS DE l’HERNE
0 Les Cahiers de l’Herne publient, en ce début 2016, sous la direction de Serge Linarès, un numéro (le 113ème) consacré à Cocteau. Ce volume substantiel ( (544 pages!) comporte de nombreuses contributions d’écrivains (Anouilh, Aragon, Berl, Carpentier, Colette, Genet, Mauriac, MIshima, Modiano, Morand…) dont celles, inédites en français, de José Luis Borgès, W.H. Auden et Gertrude Stein. Claude Arnaud y a accordé un long entretien à Serge Linarès, sur la genèse de la biographie qu’il a consacré au poète. Pour en savoir plus, feuilleter ou acquérir ce Cahier …
Pour lire le début de cet entretien dans les Cahiers de l’Herne…
« C’est à Claude Arnaud, à qui l’on doit une biographie exemplaire de Cocteau, que revient d’ouvrir ce Cahier de
L’Herne, écrit Christine Bini sur le site de la Règle du jeu. En quelques dates clés, il saisit de façon fulgurante la vie du poète : le suicide du père, la guerre de 14-18, la mort de Raymond Radiguet, l’opium, Jean Marais, Orphée au Festival de Cannes, l’entrée à l’Académie française… Il pose la question de la modernité et la résout ainsi : « Sa démarche reste moderne, car elle consiste en une remise en jeu constante de soi, en une expérimentation continue de l’identité ». Pour lire ce post in extenso…
*Le 18 mars 2016, à 20h15 sur France 5, Claude ARNAUD est intervenu dans l’émission « Entrée libre« , animée par Claire CHAZAL, dans l’ultime section dédiée à COCTEAU, à l’occasion de la sortie des ces Cahiers de l’Herne.
CATHERINE MILLOT, 2° PRIX DE LITTERATURE ANDRE GIDE 2016
0Le deuxième prix de littérature André GIDE 2016, décerné par un jury composé de Claude
ARNAUD, Philippe FOREST, Marie GIL, Robert KOPP, Eric MARTY, Laurence PLAZENET, Jean-Benoit PUECH, Peter SCHNYDER et Laurent ZIMMERMANN a été décerné à Catherine MILLOT pour son livre La Vie avec Lacan ( Gallimard, collection L’Infini). Crée et soutenu par la Fondation Catherine Gide, qui le dote de 10.000 euros, le prix sera remis le mercredi 9 mars à 18 heures à la libraire Gallimard, 15 boulevard Raspail, paris 75007. Pour en savoir plus…
QUAND LE NEANT SE PREND POUR DIEU…
0MONSTRUEUX EFFET DE SOUFFLE DES ATTENTATS AYANT FRAPPE PARIS LE VENDREDI 13 NOVEMBRE: CES BOMBES HUMAINES ET CES RAFALES DE KALACHNIKOV ONT EMPORTE UNE PARTIE DE NOTRE OXYGENE. LA COMETE MORBIDE QUI A DEJA FRAPPE OU DETRUIT UNE DIZAINE DE PAYS – LA SOMALIE, L’AFGHANISTAN, L’ALGERIE, L’IRAK, LE YEMEN, LA TUNISIE, LE PAKISTAN, LE LIBAN, LE NIGERIA, LA SYRIE, LE MALI…EST PASSE SUR NOS TÊTES. IL FAUDRA AUX « AIMANT-VIVRE » BEAUCOUP DE SANG-FROID, DE DETERMINATION ET D’INTELLIGENCE POUR GAGNER CETTE PARTIE CONTRE LES AGENTS DE LA MORT QUI ONT DEJA FAIT 215 VICTIMES AU KENYA, 3100 A NEW YORK, 202 A BALI, 191 A MADRID, 173 A BOMBAY, 56 A LONDRES, 150 A PESHAWAR, 17 A VOLGOGRAD, SANS PARLER DES 50 OU 100 MARTYRS QU’ILS FONT CHAQUE JOUR ENTRE KARACHI, BAGDAD, GAZIANTEP, LE LAC TCHAD, MAIDUGURI, BOSTON, SOUSSE, ERBIL, SIDNEY, OTTAWA, PALMYRE, LE MIDANAO, OSLO, BRESLAN, LA PATTANI – ENCORE ONZE MORTS CE SOIR A TUNIS. NAZIS ET STALINIENS AVAIENT DEJA UTILISE DELINQUANTS ET GANGSTERS COMME MASSE DE MANOEUVRE. C’EST AU NOM PRETENDU D’ALLAH « LE MISERICORDIEUX » QU’ILS MASSACRENT CETTE FOIS: PLUS DE 30.000 VICTIMES EN 2014.
QUAND LE NEANT SE PREND POUR DIEU, SE FAIT TYRANNIE, TUE ET ESCLAVAGISE, ERIGER LA VIE, LA JOIE ET LA LIBERTE EN BIENS SUPRÊMES, ET SE TENIR PRÊTS.
Albertus PICTOR La mort jouant aux échecs, circa 1440
« PROUST CONTRE COCTEAU » EN CHINE
0ASSUREE PAR ZANG XIAOJIA, LA » VOIX » CHINOISE DE
JACQUES RANCIERE, JULIA KRISTEVA ET REGIS DEBRAY, LA TRADUCTION EN MANDARIN (caractères simplifiés) DE PROUST CONTRE COCTEAU A ETE PUBLIEE EN NOVEMBRE 2015 PAR LES EDITIONS SHANGHAI CENTURY LITERATURE Publishing Company. Un aperçu du livre a été donné en mandarin sur RFI Chine…
年是《追忆似水年华》出版的百年纪念,也是让•科克托去世五十周年纪念,借此机会,克洛德•阿尔诺用作品来回顾这两位伟大的作家之间的友谊:普鲁 斯特比科克托年长二十岁,但两人出身于同样的社会阶层,两位多产的作家却代表了两种文学策略,也是两段历史,前者成为了众所周知的圣殿,而后者,这个年轻 才子却看到了这位兄长的背叛…
Ces quinze dernières années, des éditeurs chinois ont publié des oeuvres de COCTEAU comme La belle et la bête, Du cinématographe, Journal d’un inconnu, La difficulté d’être, Les enfants terribles, 28 autoportraits écrits et dessinés...
IN THE BETTER CHINESE BOOKSHOPS, SINCE NOVEMBER 2015 : PROUST CONTRE COCTEAU, TRANSLATED IN SIMPLIFIED MANDARIN BY ZANG XIAJOIA AND PUBLISHED BY SHANGHAI CENTURY LITERATURE Publishing Company.
LA DUCHESSE DE GUERMANTES DESHABILLEE AU PALAIS GALLIERA
0Du 7 novembre 2015 au 20 mars 2016, le Palais Galliera (10 avenue Pierre 1er de Serbie,Paris 16e) présente les robes trésors de la comtesse
Greffulhe dans le cadre de l’exposition « La Mode retrouvée ». Celle qui inspira partiellement à PROUST le personnage de la duchesse de Guermantes ayant légué l’ensemble de sa garde-robe, ce sera l’occasion unique d’explorer l’univers d’une femme remarquable, l’intime de Robert de MONTESQUIOU son cousin. Qui régenta la vie mondaine et culturelle parisienne de la fin du Second Empire aux Années folles, aida les opéras de Wagner ou les Ballets russes à se produire, « assit » mondainement la réputation de Gustave Moreau et de James Whistler et soutint les recherches de Marie Curie ou d’Édouard Branly, tout en défendant la cause du capitaine Dreyfus. Pour en savoir plus…
A l’occasion de cette exposition, qui sera montrée ensuite au Museum at FIT (Fashion Institute of Technology), New York (septembre 2016), le Palais Galliera et Paris Musées publient un catalogue, sous la direction d’Olivier Saillard. Claude Arnaud y a contribué avec un texte intitulé « La Colombe poignardée » commençant ainsi: « Au temps de Henri IV et de Louis XIV, on distinguait le corps physique du roi — périssable et mortel — et le corps mystique de la monarchie, par essence éternelle. Morte il y a un demi-siècle, Élisabeth de Caraman Chimay, comtesse Greffulhe par son mariage, s’offre à nous sous des formes presque aussi extrêmes. Sa dimension la plus mondaine s’affiche dans les parures qu’elle commanda aux meilleurs couturiers sa vie durant; sa dimension la plus secrète illumine le personnage de la duchesse de Guermantes, pilier féminin de la cathédrale de papier que bâtit Proust. La première a tout, beauté, fortune, naissance, châteaux et valets ; la seconde souffre en silence, faute d’être aimée… » Pour en savoir plus... (Une petite erreur s’est faufilée dans le texte, il faut remplacer Jules de Goncourt, trois fois cités, par son frère Edmond!)
« Leah’s choice: La Mode Retrouvee. Les Robes Tresors de la Comtesse Greffulhe, by Olivier Saillard, Claude Arnaud, Laure Hillerin, Sylvie Lecallier and Valerie Steele (2015).
« This book is the catalogue for an exhibition of the same name, currently running at the Palais Galliera in Paris (7th November 2015– 20th March 2016). Because I am not yet sure whether I am going to be able to see the show before it ends this book is on my Christmas wishlist as substitute for the real deal, which displays a selection of the clothes, but also photographs and films of the Countess Greffulhe – an influential and impressive society figure in early twentieth century Paris and Marcel Proust’s inspiration for the Duchess Guermantes in his novel In Search of Lost Time. » Leah’s choice, The Courtauld Institut of arts… Get this catalogue…
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In NEW YORK, at the Fashion Institute of Technology, Special Exhibitions Gallery (September 23, 2016 – January 7, 2017) « Proust’s Muse, The Countess Greffulhe » features extraordinary fashions from the legendary wardrobe of Élisabeth de Caraman-Chimay, the Countess Greffulhe (1860–1952). A famous beauty celebrated for her “aristocratic and artistic elegance,” the countess was a fashion icon. Read more…
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