Pascal QUIGNARD, prix de littérature André Gide 2017

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Le Jeudi 16 mars 2017,  le 3° prix de littérature André Gide a été remis à Pascal QUIGNARD pour son livre Les Larmes, paru aux éditions Grasset, à la librairie Gallimard du 15 boulevard RASPAIL, Paris 75007. Les deux autres finalistes étaient Benoit Duteurtre pour Livres pour adultes ( Gallimard) et Noël Herpe pour Dissimulons (Plein jour). Soutenu par la Fondation Catherine Gide et doté de 10.000 euros, le prix littéraire André GIDE est attribué par un jury composé de: Claude ARNAUD, Philippe FOREST, Marie GIL, Robert KOPP, Eric MARTY, Laurence PLAZENET, Jean-Benoit PUECH, Peter SCHNYDER et Laurent ZIMERMANN.

« Jean COCTEAU, A Life », by Claude ARNAUD, winner of the 30th Annual French-American Foundation Translation Prize

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One of the five finalists for the 30th Annual French-Americain Fondation  Translation Prize, Jean Cocteau, a Life, by Claude Arnaud, translated by Lauren Elkin and Charlotte Mandell, is one the two winners. The awards ceremony has been held on 8 June 2017. The winning translators has received $10,000.

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L’un des cinq livres finalistes, Jean Cocteau: A Life, par Claude Arnaud, traduit du français à l’anglais par Lauren Elkin et Charlotte Mandell, est l’un des deux livres vainqueurs (dans la catégorie non-fiction) du 30° prix Annuel de traduction de la French-American Foundation. La cérémonie de remise du prix a eu lieu le 8 Juin 2017. Les traductrices lauréates ont reçu 10,000 dollars.

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Le Prix SEVIGNE 2017

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Le Prix Sévigné, qui depuis 21 ans récompense  l’édition d’une correspondance de grand intérêt littéraire, a été remis, le 8 mars 2017, dans l’atelier de Delacroix, place Furstenberg à Paris, aux deux maîtres d’oeuvre de la publication des LETTRES A CLAIRE DE DURAS (1814-1828), du savant allemand Alexandre de Humboldt, correspondante inédite publiée par les éditions Manucius : Marie-Bénédicte Diethelm, qui l’a présentée, établie et annotée, et Marc Fumaroli de l’Académie française, qui en a signé la préface.

Présidé par Anne de LACRETELLE, le jury est composé de Claude ARNAUD, de Jean-Pierre de BEAUMARCHAIS, de Jean BONNA, de Manuel CARCASSONNE, de Jean-Paul CLEMENT, de Charles DANTZIG, de Diane de MARGERIE, de Christophe ONO-DIT-BIOT et de Daniel RONDEAU.

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MICHEL TOURNIER en Pléiade…

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Dans son numéro 2321, daté du 2 mars 2017, LE POINT a publié un article de CLAUDE ARNAUD consacré à l’édition en Pléiade de l’oeuvre romanesque de MICHEL TOURNIER, de Vendredi ou les limbes du Pacifiques à Gilles et Jeanne, en passant par Les Météores et le Roi des Aulnes, et y ajoutant Le Vent Paraclet, un essai très personnel. Pour lire cet article in extenso… ou découvrir sa version papier : page 1, page 2

La Cinémathèque rend hommage à Charles NAJMAN

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Le Mercredi 8 mars 2017, à 20 h., en salle Georges Franju, la Cinémathèque française a rendu hommage à Charles NAJMAN, décédé à 60 ans cet été, en projetant son dernier long-métrage, PITCHIPOÏ. Tourné en 2012, interprété par Xavier Gallais, Laurent Lacotte, Sabrina Seyvecou, Denis Lavant, Serge Merlin, Michèle Moretti, ce film raconte la dérive hallucinée d’un stand-up comique, Julien Schulmann, dont le père meurt brutalement. Rescapé des camps d’extermination, celui-ci demande par testament à son autre fils, Pierre, de disperser ses cendres en Pologne, sa terre d’origine. Mais Pierre a disparu depuis deux ans en Amérique latine et la famille Schulmann n’a que haine pour la Pologne. A l’exception de Pierre, dont le fantôme semble s’ingénier à encourager à un retour à cette terre d’origine, qu’il tient pour la vrai patrie des Juifs.

Un film délibérément sarcastique,  coupant court à toutes les  revendication identitaires d’aujourd’hui, que la plupart des distributeurs avaient refusés de sortir en salle, par peur, et qui a enfin la chance, après une première sortie discrète à l’espace SAINT-MICHEL en 2014, de trouver son vrai public.

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CONCERT LECTURE LE 8 FEVRIER 2017

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Un Concert-lecture exceptionnel s’est donné le Mercredi 8 février 2017, à 20 heures précises, chez Alban CAUSSE,                                                             

3, rue PIERRE-L’ERMITE, 75018 Paris (métro La Chapelle) au profit de la Fondation « PARADIS des INDIENS » fondation à but non-lucratif qui oeuvre à scolariser les enfants et à soigner les habitants des ABRICOTS, village du finistère haïtien ravagé par le passage de l’ouragan Matthew, le 4 octobre 2016.

Les pièces musicales ont été interprétées et chantées par Stéphanie HUMEAU, pianiste, Caroline MONTIER, soprano, l’OISELEUR, baryton. Extraits de « PORTRAITS CRACHES« , une anthologie à paraître chez BOUQUINS en septembre 2017, les textes ont été dits par Claude ARNAUD. Chacun a donné ce qu’il souhaitait pour les interprètes et la Fondation. Pour découvrir le programme de ces Portraits crachés chantés

Et le flyer invitant à ce concert du 8 février…

Pour en savoir plus sur la Fondation Paradis des Indiens, animée par Mica de Verteuil…

Pour découvrir la page Facebook de la Fondation

Et les ravages causés par l’ouragan Matthew au village des ABRICOTS

Une classe d’école des Abricots financée par la Fondation « Paradis des Indiens »

Mica de Verteuil témoigne des ravages opérés par le cyclone

« Jean COCTEAU, A LIFE », in The SPECTATOR/ « COCTEAU » vu par The SPECTATOR

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« All biography is both an act of homage and a labour of dissection,and all biographers are jealous of their subjects, Duncan FALLOWELL writes in The Spectator (01/7/2017). Most keep it cool, but some like it hot and have created a distinct category in which jealousy becomes murder followed by necromancy: the one they hug is asphyxiated — but lo! — they breathe their own air back into it. Sartre’s book on Jean Genet is such a work, as are Brigid Brophy’s on Ronald Firbank and Roger Lewis’s on Anthony Burgess. Claude Arnaud’s on Jean Cocteau is yet another. Its approach is intensely romantic. Everyone is heaving in lurid colours. Arnaud certainly knows his material; and that he carefully references printed sources along the way is adroit, a necessity to the illusion, like the pins which hold a provisional costume together. The result is a mind-boggling excursion through Cocteau’s many milieux: from his teenage beginnings as a poet in Proustian Paris; through the Great War and the Modern movement of the 1920s in collaboration with Diaghilev, Satie, Stravinsky and Picasso; followed by the macabre uncertainties of the 1930s and later in Nazi-occupied Paris; and on to postwar film making and international celebrity. The parade of boyfriends and benefactresses is spectacular, and the near-lifelong opium addiction is paralleled by the manner in which the story moves forward in a kind of peristaltic reverie. READ THIS REVIEWREAD MORE

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* « TOUTE BIOGRAPHIE EST A LA FOIS UN HOMMAGE ET UNE DISSECTION, ET TOUS LES BIOGRAPHES SONT JALOUX DE LEUR SUJET, ECRIT DUNCAN FALLOWELL DANS THE SPECTACTOR, LE 7 JANVIER 2017. LA PLUPART GARDENT LEUR CALME, MAIS CERTAINS S’ENFLAMMENT, AU POINT D’ENGENDRER UNE CATEGORIE A-PART OÙ LA JALOUSIE TOURNE AU MEURTRE ET A LA NECROMANCIE : L’AUTEUR QU’ILS EMBRASSENT EST LENTEMENT ASPHYXIE, AVANT QU’ILS N’ INSUFFLENT LEUR AIR DANS SES POUMONS : AINSI FIRENT JEAN-PAUL SARTRE AVEC JEAN GENET, BRIGID BROPHY AVEC RONALD FIRBANK ET ROGER LEWIS AVEC ANTHONY BURGESS

LE COCTEAU DE CLAUDE ARNAUD EN EST UN NOUVEL EXEMPLE. SON APPROCHE EST INTENSEMENT ROMANTIQUE, TOUS LES PROTAGONISTES Y APPARAISSENT SOUS DES COULEURS ECLATANTES. ARNAUD CONNAÎT PARFAITEMENT SON AFFAIRE. L’ADRESSE AVEC LAQUELLE IL CITE SES SOURCES ECRITES VIENT RENFORCER L’ILLUSION, TELLES CES EPINGLES QUI FONT TENIR ENSEMBLE LES PIECES D’UN COSTUME EN COURS D’ELABORATION. LE RESULTAT EST UNE EPOUSTOUFFLANTE EXCURSION A TRAVERS LES NOMBREUX MILIEUX QUE COCTEAU TRAVERSA, DE SES DEBUTS COMME POETE ADOLESCENT DANS LE PARIS PROUSTIEN A LA GRANDE GUERRE, ET DU MOUVEMENT MODERNE DES ANNEES 20 AUX COTES DE DIAGHILEV, SATIE, STRAVINSKY ET PICASSO, AUX AMBIGUITES MACABRES DES ANNEES 30 ET AU PARIS OCCUPE PAR LES NAZIS, SANS OUBLIER LES FILMS REALISES DURANT L’APRES-GUERRE ET LA RENOMMEE INTERNATIONALE. LA PARADE DES AMANTS ET DES PROTECTRICES EST SPECTACULAIRE, ET LA DEPENDANCE A L’OPIUM EST AMPLIFIEE PAR LES CASCADES DE RÊVERIES QUE SUSCITE LE RECIT »… POUR EN SAVOIR PLUS

« Jean COCTEAU, A Life » one of the best books of 2016 for the ARTery Critics/ « COCTEAU », un des meilleurs livres de 2016 pour ARTery

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« JEAN COCTEAU, A LIFE« , by Claude ARNAUD, amongst the 20 best books of 2016 for the ARTery’s book critics (fiction and non-fiction).

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Le « COCTEAU » de Claude ARNAUD a été désigné un des 20 meilleurs livres de l’année 2016 ( fiction et non-fiction) pour les critiques de la revue en ligne The ARTery.

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« JEAN COCTEAU, A LIFE » LONGLISTED FOR THE 2017 PEN CLUB AWARDS/ LE « COCTEAU » DE CLAUDE ARNAUD DANS LES PRIX DU PEN CLUB

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« JEAN COCTEAU, A LIFE », has been longlisted for the 2017 PEN CLUB Jacqueline Bograd Weld Award for Biography.

It is the only translated book in the list. READ MORE

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La traduction anglaise du COCTEAU de Claude ARNAUD a concouru pour le prix Jacqueline Bograd Weld de la biographie que décerne chaque année le PEN-CLUB Américain. Il était le seul livre traduit dans la liste. Pour en savoir plus Pour découvrir cette liste

« JEAN COCTEAU, A LIFE » in the LITTERARY REVIEW/ « COCTEAU » EN ANGLETERRE

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The cover of the 449th issue of LITERARY REVIEW (December 2016, UK) is dedicated to « JEAN COCTEAU A LIFE« , the english translation of « COCTEAU« , by CLAUDE ARNAUD.

« Arnaud’s biography is very long (over a thousand pages, including index), but it seldom feels padded, writes KEVIN JACKSON in his review. His style – rendered into English with, he notes, some help from Donna TARTT – is as lyrical as it is ungrammatical, and he allows himself moments of speculative excess that will strike many readers as silly: ‘Some days he was so full of joy that he looked like a fetus daubing the wall with his placenta.’ Over the top, to be sure, and yet quite well suited to his flamboyant subject. Jean-Luc Godard once wrote an article in praise of Cocteau that repeatedly asked, ‘When did you last see Orphée?The triumph of Arnaud’s work is that it makes you keen not just to watch that great film again but to explore the whole of Cocteau’s delicate, fascinating universe.

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LA LITERARY REVIEW (GDE-BRETAGNE) CONSACRE LA COUVERTURE DE SON NUMERO 449 (decembre 2016) A LA TRADUCTION ANGLAISE DU « COCTEAU » DE CLAUDE ARNAUD.

 » La biographie d’ARNAUD est très longue (un bon millier de pages, en comprenant l’index), mais elle l’est rarement  inutilement, écrit KEVIN JACKSON dans cet article. Son style – transposé en anglais avec l’aide, note-t-il, de Donna TARTTest aussi lyrique qu’affranchi des règles de grammaire. Il s’autorise des moments d’excès spéculatifs qui frapperont le lecteur, comme ce:  « Il était si joyeux certains jours qu’il ressemblait à un foetus barbouillant les murs de son placenta ». Hors mesure, sans aucun doute, mais parfaitement adapté à son  flamboyant sujet. Jean-Luc GODARD écrivit un article célébrant COCTEAU où il demandait, de façon récurrente:  » Quand avez-vous vu pour la dernière fois ORPHEE ?  » Le prodige du livre d’ARNAUD est qu’il nous donne non seulement l’envie de revoir ce film, mais d’explorer, dans son intégralité, l’univers à la fois fascinant et délicat de COCTEAU. »

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