Dans le numéro 453 d’ARTPRESS, daté mars 2018, Alix AGRET écrit : « Claude ARNAUD pourrait faire sien le constat d’un des plus grands  portraitistes (sinon le plus grand ?) de l’histoire de la littérature française. SAINT-SIMON l’avoue : « les singularités curieuses ont fait couler ma plume ». Elles ont aussi aiguillonné le désir de Claude ARNAUD qui s’est fait un devoir de les traquer, non plus seulement chez les courtisans dont le mémorialiste dépeçait les tares et petitesses de sa plume assassine mais également dans tout ce que l’introspection et la dissection d’autrui ont produit d’humanité singulière en littérature. Déjà il s’était fait le biographe de CHAMFORT puis de Jean COCTEAU. Il n’a cessé de ferrailler avec les contours fluctuants de l’être, ses énigmes, ses impostures et ses contradictions, chez les siens (Qu’as tu fait de tes frères ?) ou chez les autres (Le caméléon roman) – limpide est à cet égard le titre de son essai Qui dit je en nous ? : une histoire subjective de l’identité (…)

COCTEAU affirmait que le poète est exact. Et il y a de l’exactitude dans cet ouvrage ciselé où Claude ARNAUD recueille, infatigable, et avec force détails, les variations d’un genre protéiforme tout en assumant la subjectivité de sa sélection ». Pour découvrir le sommaire de ce numéro d’ARTPRESS

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