Archive for mars, 2010

L’écriture amoureuse, du banal au singulier, de soi à l’autre

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imagesLe lundi 10 mai 2010, CLAUDE ARNAUD a reçu CAMILLE LAURENS pour son 4° Salon littéraire à l’ARSENAL, à l’invitation de la BIBLIOTHÈQUE NATIONALE de FRANCE. Il a parlé avec elle de l’écriture amoureuse, du banal au singulier, de soi à l’autre, à l’occasion de la sortie de son dernier livre, ROMANCE NERVEUSE (Gallimard). Bibliothèque de l’ARSENAL, 1, rue de SULLY, 75004 Paris.

Pour retrouver cette conférence dans le fond de la BNF

Pour lire l’article que CLAUDE ARNAUD a consacré à ROMANCE NERVEUSE dans LE POINT…

CLAUDE ARNAUD recommande…

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« ON NE M’A PAS DIT D’AIMER LE CINEMA », par JACQUES FIESCHI (Yellow now) : ***** (Pour trouver ce livre…)

« CONFESSION D’UN TIMIDE« , par PHILIPPE VILAIN (Grasset) : *****

 

« L’HOMME QUI A TUÉ ROLAND BARTHES« , par THOMAS CLERC (L’Arbalète): ****

 

La préface de CÉCILE GUILBERT A « LITTERATURE », recueil des conférences données par VLADIMIR NABOKOV aux Etats-Unis entre 1941 et 1958 (Robert Laffont, Bouquins) : *****

« ÉLOGE DE L’APOSTAT, Essai sur la vita nova », par

JEAN-PIERRE MARTIN (Seuil, Fictions et cie): ***

Sur George STEINER

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Le 16 avril 2010 LE POINT a publié un article de CLAUDE ARNAUD sur LECTURES le dernier livre de GEORGE STEINER publié chez Gallimard, un recueil d’articles passionnants qu’il écrivit pour le New-Yorker, où l’on croise aussi bien Anthony Blunt que George Orwell, Freud que Cioran.

Pour lire cet article

Comme un bloc de glace sur un corps irradié…

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imageLe 1er avril 2010, LE POINT a publié un article de CLAUDE ARNAUD sur LA CENTRALE (POL), un premier roman très prometteur d’ELISABETH FILHOL sur la vie itinérante des agents de maintenance du nucléaire, ces sherpas de l’enfer vite transformés en « chair » à neutrons », en « viandes à rems ».

Pour lire cet article…

En amour aussi, la vengeance est un plat qui se mange froid…

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imageDans son édition du 23 mars 2010, LE POINT a publié un article de CLAUDE ARNAUD sur « Patria o muerte », un roman de DOMINIQUE PERRUT racontant, à l’orée des années 70,  la passion du jeune Frédéric pour une Cubaine qui le délaisse pour un personnage haut en couleurs ressemblant beaucoup à  PIERRE GOLDMAN, l’ex-militant qui fut accusé du meurtre de deux pharmaciennes du boulevard Richard Lenoir.

Pour lire cet article.

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