Sur le cinéma

CLAUDE ARNAUD collabore, dès la fin des années 70, aux revues Cinématographe, L’Avant-Scène Cinéma, Vertigo

*Pour voir la liste des articles qu’il a publié, de 1977 à 1980, sous le pseudonyme de Claude ARNULF dans Cinématographe…
et sous son nom, de 1981 à 1984, dans la même revue, comme dans l’Avant-Scène
Pour en savoir plus sur la revue Cinématographe, que dirigeait Jacques FIESCHI
*Il donne en juillet 1995 à une interview à Caroline BENJO et à la revue « Inédits », n°3, publiée par la société de production « Haut et Court« , au sujet de sa relation au cinéma: page 1, page 2
*Il donne à la revue Vertigo (n°14, 1996, éditions Jean-Michel Place) un texte sur Ed WOOD, le cinéaste plus qu’ambigu des années 50. Pour trouver ce numéro de Vertigo…
…et consacre en 2008 un texte dans Le Point aux excellents entretiens que Woody ALLEN a accordé à E. Lax. Page 1, page 2
*Enfin, il a analysé sa découverte, via les films d’ HITCHCOCK, de la mise en scène cinématographique, sous le titre « Ce grand oeil froid et visqueux », dans la revue TRANSFUGE (n°48, 2011)…
*Il a par ailleurs créé avec Dominique Païni le prix Philippe Arnaud, en souvenir de son frère PHILIPPE ARNAUD, auteur d’un Robert Bresson aux éditions des Cahiers du Cinéma, d’un ouvrage collectif sur Sacha Guitry cinéaste (éditions Yellow now, 1993), de Son aile indubitable en moi (Yellow Now, 1996) et d’un ouvrage posthume, recueillant certains de ses textes critiques sur le cinéma rassemblés par Fabrice Revault d’Alonnes et préfacé par Alain Bergala, Les paupières du visible (Yellow Now, 2001). Le prix a récompensé chaque année un essai sur le cinéma, jusqu’en 2005 . (Pour en savoir plus sur Philippe ARNAUD scénariste…)
Il a enfin contribué avec Dominique PAINI, Alain BERGALA, Olivier Renault d’Allonnes, Carole DESBARRATS et Jean-Paul CIVEYRAC au tiré-à-part publié par la revue Cinémathèque n°14 (novembre 1998), deux ans après sa mort tragique dans le golfe de Porto, en Corse. Pour lire ce texte…
page 1, page 2, page 3, page 4, page 5
 
*CLAUDE ARNAUD a aussi participé à l’ouvrage collectif : DEREK JARMAN, JEAN COCTEAU, ALCHIMIE, textes inédits et filmographies, publiés en mars 2008 à l’occasion du 19ème Festival Cinéma de Bobigny, sous la direction de Dominique Bax. Editeur Magic Cinéma. Collection « Théâtres au cinéma, n°1. Pour trouver ce catalogue…
*CLAUDE ARNAUD a par ailleurs évoqué COCTEAU cinéaste dans un bonus de la réédition, par le StudioCanal, de  La belle et la bête
Pour en savoir plus…
Pour acquérir ce CD...
*Il est aussi au centre d’Une politique hallucinogène, le documentaire de 30 minutes qu’a réalisé Dominique MAILLET en bonus de la réédition (automne 2020) en BlueRay du Sang d’un poète de Cocteau par le StudioCanal
¨Claude ARNAUD intervient encore dans Le Dernier Pharaon, le documentaire de 30 minutes réalisé aussi par Dominique MAILLET en bonus de la réédition, toujours en BlueRay, du Testament d’Orphée
Gaumont vidéo a enfin édité la version intégrale restaurée du QUERELLE de WERNER FASSBINDER, avec un documentaire de 34 minutes, « Le crépuscule des corps, Fassbinder chercher Querelle », où CLAUDE ARNAUD évoque l’extraordinaire travail d’adaptation du roman de JEAN GENET. Pour trouver ce DVD…,  désormais disponible en blu-ray…
Pour en savoir plus….
CLAUDE ARNAUD A AUSSI ECRIT POUR LE CINEMA…

4 comments

  • André Chabin (9 ans)

    Bonjour,

    Pur hasard que la découverte de votre site (enfin pas tout à fait, je cherchais une couverture de Vertigo ancienne manière pour un bref salut à Christian Marc Bosseno qui vient de disparaître).
    Ce m’est l’occasion de vous dire à quel point j’aime votre travail (découvert il n’y a pas si longtemps) : dans Brèves saisons au paradis, j’ai appris votre « proximité » avec la mémorable Cinématographe qui m’est si chère…D’ailleurs je suis en quête pour la revue que j’anime La Revue des revues consacrée pour partie à leur histoire d’une étude sur cette magnifique aventure dont beaucoup ont la nostalgie et qui pourtant à ma connaissance n’a jamais été comme on dit vilainement « documenter ».
    Bien à vous
    A.C

    • Claude Arnaud (9 ans)

      Merci pour votre message et vos encouragements, ils m’ont fait chaud au coeur ! Il n’y a pas eu, jusqu’à présent, d’étude publiée sur la revue Cinématographe, mais Jacques Fieschi, qui la dirigeait, me dit qu’un étudiant lui à consacré une maîtrise, mais il ne se souvient plus de l’Université, peut-être la retrouvera-t-il un jour dans ses dossiers, je vous tiendrai alors informé. Sinon, je ne peux que vous inviter à lire  » On ne m’a pas appris à aimer le cinéma » (Editions Yellow Now, 2010) un recueil de textes que J.F. avait précisément publié dans Cinématographe, d’abord parce que ces textes sont remarquables, ensuite parce qu’ils sont précédés d’une présentation de la revue, et de ses enjeux. Par ailleurs, Olivier Assayas, dans son récent livre (passionnant) d’entretiens avec Jean-Michel Fredon (« Assayas par Assayas », Stock), retrace de façon enthousiaste l’importance que cette revue a eu sur lui, et sur la critique cinématographique en général. J’espère avoir satisfait à votre curiosité. Avec mes sentiments les meilleurs. CA

  • Bonnet Laurent (9 ans)

    Bonjour,
    Je viens de commencer la lecture de « Proust contre Cocteau » et avant même de le finir je ne peux m’empêcher de vous exprimer mon enthousiasme pour un tel travail d’écriture, si rare dans un texte critique. Je pensais lire un essai sur deux écrivains et me retrouve, enchanté, devant une œuvre littéraire à part entière. C’est en effet le plus bel hommage qu’on pouvait imaginer.
    Avec toute mon admiration.
    Cordialement

    • Claude Arnaud (9 ans)

      Merci pour votre message si chaleureux, Laurent Bonnet, il m’a réjoui! Tout ce que vous me dites me donne de l’entrain, et j’en ai besoin, alors que je révise les 1780 pages de la traduction anglaise de ma grosse biographie de Cocteau. J’essaye là aussi d’aller droit à l’essentiel, veille à rester accessible à un lectorat anglo-saxon, tout en gardant au livre sa dimension littéraire, sinon ses percées poétiques. Bonne fin de lecture, et encore merci! Claude Arnaud

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