Dans le numéro 145 de Transfuge, daté du 2 février 2021, Vincent JAURY écrit au sujet du Mal des ruines: « L’identité est un feuilleté écrit l’auteur. Il a cette très belle phrase qui résume son propos au début du livre : « Une origine est un fantôme
qui s’actualise parfois pour s’imposer comme
une évidence, avant de regagner à pas de loups
son grenier ». Ses origines corses comptent,
mais sont la partie d’un tout, fidèle qu’il est
à Cocteau : « Je ne me réclame que de moi, je
préfère les nuances de l’hybridité assumée ».
La fin du livre est la plus réussie, où il se
penche sur la difficulté à écrire une île : « Une
île ne s’explique pas (…) elle résiste à l’analyse,
tout comme l’éclat aveuglant du soleil sur la
mer. » Et la dernière page, sans trop en dévoiler,
est l’acmé du récit, lumineuse mise au tombeau. » Pour lire cet article in extenso…